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Geekeries de tout poil

Bière du 4 décembre – Hobgoblin

Salut, et désolé pour le retard de publication (quoique je doute de de nombreux lecteurs suivent ce blog…), mais je n’ai pas tous les soirs le temps de préparer et publier mes photos. En revanche, je prends le temps de les faire tous les matins et presque tous les soirs… de même que pour le moment, on a pas raté une seule dégustation…

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P1040689Pour ce jeudi 4 décembre, que se cache-t-il derrière le petit opercule ?

P1040690 P1040693Il s’agit de la bière nommée Hobgoblin, de la brasserie anglaise Wychwood. Honnêtement, je ne sais plus si je l’avais déjà goutée ou non, je pense que oui. En tout cas j’ai souvent vu cette bouteille à la forme originale et à l’illustration facétieuse me narguer !

Je n’ai pas songé ce soir là à faire de photo de la bière débouchée et versée… le temps m’a manqué pour cela, désolé 😉

Notes de dégustation : voila une bière anglaise comme je les aime, avec du caractère ; on y trouve des goûts sympathiques de chocolat et céréale grillée, enfin une vraie bière foncée ! Très agréable à boire, et pas trop forte. Notre note : 4/5


Bière du 3 décembre – Paulaner Hefe-Weißbier

Le 3 décembre au petit matin…
P1040685ha ha ! Une bière que je connais, que je bois régulièrement, et que j’apprécie ! La Paulaner Hefe-Weißbier

Le soir :

P1040687C’est une bière plaisante, facile à boire, gouleyante comme dirait l’autre. Ses saveurs fruitées et rafraichissantes lui viennent de sa teneur en blé et de sa levure. Une valeur sûre, qui fait l’unanimité dans notre foyer. Notre note : 3.5 / 5

À demain !!


Impression plusieurs pages par feuille

Astuce rapide pour imprimer un document en composant plusieurs pages sur une seule. On utilise pour cela l’outil psnup qui crée l’assemblage sur des documents PS. Le plus simple est d’imprimer votre document d’origine en tant que fichier PS, puis utiliser psnup et enfin imprimer le fichier PS obtenu. On peut aussi utiliser un outil du type pdf2ps pour convertir un document PDF existant.

psnup -n document.ps a_imprimer.ps

ou -n est le nombre de pages à composer sur une seule, exemple :

psnup -2 document.ps document_2pages.ps

pour une composition 2 pages par feuille.


Bière du 2 décembre – Ardwen Hop’s Cure

Deuxième jour, deuxième découverte !

P1040681Une bière Ardwen !? Une brasserie dont je n’ai jamais gouté les produits 🙂

P1040682 P1040683Le nom : Hop’s Cure, annonce une bière bien houblonnée ! Ça me plait…

P1040684Mes notes de dégustation : une bière bien équilibrée, une finale sur une amertume encore trop légère à mon goût. C’est une bière puissante, mais qui passe tout seul. Mon épousée trouve la finale trop amère, ce que je peux comprendre. Nos appréciations :

Pour elle : 2.5 / 5

Pour moi : 3 / 5


Bière du 1er décembre – Chimay Dorée

Émotion émotion ! Ouverture de la première case de mon beery christmas, en images s’il vous plait :

P1040675 P1040676Que vais-je trouver derrière la petite case ??

Hé bien une Chimay, étiquette marron, qui indique « Dorée – Goud »… Ça commence bien : une bière que je ne connais pas ! J’apprécie par ailleurs la gamme Chimay, particulièrement la bleue. Je l’ai vite mise au frigo. J’attends ce soir avec impatience pour déguster cette première découverte !

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Santé !

Mise à jour à 19h33 :

J’ai dégusté la bière avec mon épousée.

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Voici notre avis : une bière un peu légère, mais équilibrée. Peu forte, elle contentera les palais recherchant du gout sans trop d’alcool. L’amertume est discrète. Ce n’est pas notre genre préféré, mais c’est une bière bien faite. Notre appréciation : 2.5 / 5

À demain !


Découverte Beery Christmas 2014

Salut les gens,

cette année, et pour la première fois en ce qui me concerne, j’ai commandé au Père-Nöel des buveurs de bière le calendrier de l’avent Beery Christmas. Il s’agit d’un calendrier de l’avent qui sous chaque case cache une bière différente à déguster ! Idée extraordinaire, dés que j’ai appris son existence j’ai prévenu mes amis amateurs de cette boisson fabuleuse. Et un peu plus tard, la commande partait…

Place à la découverte, voici l’objet, dans mon salon :

P1040673 P1040674Magnifique, non ?

Le site web qui accompagne ce superbe objet, permet chaque jour de découvrir une fiche dégustation associée à la bière du jour !

Très bientôt de nouveaux articles sur la première bière, aujourd’hui premier janvier, puis les suivantes !

Bonne dégustation !

 


Traiter les images pour le web

Souvent, on est amené à mettre en ligne nos images, photos, sur le web, que ce soit sur un blog (comme ici), sur un forum, un tweeter ou autre…

Or le web étant ce qu’il est (quiconque comprend cette phrase me poste un commentaire pour l’expliquer…) il est préférable de préparer un peu nos fichiers images avant de les envoyer au su et au vu de tous. Voici ce que j’applique maintenant :

  • redimensionnement à 1200px max de largeur ou hauteur (pour éviter les téléchargements trop longs)
  • suppression de toutes les métadonnées (pour éviter les indiscrétions des visiteurs)

Le deuxième point peut poser problème ; en effet, de nombreux appareils photos (tous ?) ne stockent pas les photos dans le sens de prise de vue (portrait, paysage), mais simplement enregistrent toujours dans le sens du capteur et ajoutent un tag EXIF pour spécifier l’orientation déterminées par le capteur intégré à l’appareil. Le résultat est que si on applique bêtement la deuxième opération (suppression de toute métadonnée) ce tag est perdu, et certaines photos sont mal orientées… Mais pas de panique, notre outil préféré de modification en ligne de commande à tout prévu. J’utilise évidemment ImageMagick, et selon les cas, convert ou mogrify

Les options utilisées sont donc :

  • -auto-orient : pour remplacer le tag EXIF d’orientation par un basculement physique des pixels
  • -resize 1200x1200 : pour redimensionner à 1200px max (largeur ou hauteur, le plus grand des deux fera 1200)
  • -strip : suppression de toutes les métadonnées restantes

Résultat en une ligne :

find . -name "*.JPG" -execdir mogrify -auto-orient -resize 1200x1200 -strip {} \;

pour toutes les images du répertoire courant (extention .JPG en majuscule, comme produites par de nombreux appareils photos (tous ?))

Enjoy 😉


Authentification par clé publique avec SSH

Objectif : créer un lien fort entre un client et un serveur SSH, de telle sorte que le client se connecte au serveur automatiquement sans demander de mot de passe.

Par défaut, seul le serveur est identifié par une clé publique, ce qui au passage permet d’initialiser le cryptage. La chose à retenir est que cette clé est en quelque sorte associée au nom du serveur dans une base client (~/.ssh/known_hosts), et si elle change le client est sensé avertir l’utilisateur que quelque chose ne va pas. Parfois c’est normal : le serveur a été réinstallé, la clé corrompue, etc les raisons ne manquent pas pour qu’une clé change… ça peut aussi être le fait d’une personne mal intentionnée, d’où l’avertissement. En tout état de cause, la personne qui s’occupe d’un serveur est sensée communiquer à ses clients si la clé change. Dans le doute, il vaut mieux ne pas se connecter à un serveur si une clé a changé et qu’on ne sait pas pourquoi.

Ici, on s’intéresse à créer une clé qui identifie le client auprès du serveur, il s’agit donc d’ajouter la clé dans une base serveur (~/.ssh/authorized_keys). Il est intéressant de noter que la clé est ajoutée dans le homedir d’un user bien spécifique : la connection automatique du client n’est donc possible que pour se connecter avec ce user. Il est ainsi possible d’utiliser cette même clé pour plusieurs users du serveur, voire sur plusieurs serveurs ! A vous de jouer finement avec ces possibilités.

Sur le client

Il faut déjà créer la clé, elle est personnelle au user et doit être bien protégée. En théorie, les systèmes mettent des droits appropriés pour ces fichiers (chmod 700), mais n’oubliez pas néanmoins que root peut tout voir, ou quelqu’un qui boot votre poste client avec un media de démarrage amovible (un linux live par exemple…)

Création de la clé :

> ssh-keygen -t rsa -b 2048
Enter file in which to save the key (/home/sioc/.ssh/id_rsa): 
Enter passphrase (empty for no passphrase): 
Enter same passphrase again: 
Your identification has been saved in /home/sioc/.ssh/id_rsa.
Your public key has been saved in /home/sioc/.ssh/id_rsa.pub.
The key fingerprint is:
27:15:22:dd:73:0b:d1:91:be:db:3c:09:75:81:9f:84 sioc@moustache
The key's randomart image is:
+--[ RSA 2048]----+
|      ....oo.oo  |
|       ...+.+E o |
|          .= .o o|
|         .  o .o.|
|        S .  o . |
|         o  o    |
|             = . |
|            . =  |
|               . |
+-----------------+

Quelques détails : l’emplacement par défaut est le bon, a priori pas besoin d’y toucher. Il est possible de sécuriser la clé avec un mot de passe, ce qui évite de se la faire voler, ou du moins limite les risques. On perd alors l’intérêt de la connexion automatique sans mot de passe, mais si on utilise la même clé sur plusieurs serveurs, le mot de passe demandé sera le même pour tous les serveurs, plutôt que le mot de passe de chaque serveur… à vous de voir : personnellement j’utilise des clés sans mot de passe associées à un unique poste client, en tout cas pour accéder à des serveurs pas trop critiques… Le fichier généré id_rsa est une combinaison de clés publiques/privées, ce fichier est critique et il doit être le plus protégé possible. Le fichier id_rsa.pub en revanche est la clé publique seule : c’est ce fichier qu’il faut diffuser sur le serveur. Les infos affichées à la fin sont le fingerprint et le randomart de votre clé : il s’agit d’une marque unique correspondant à la clé (un hash), qui sert à vérifier que votre clé n’a pas été corrompue (changée…). Le fingerprint est juste impossible à mémoriser, alors il parait que le randomart est sensé s’imprimer de manière visuelle dans la mémoire, spontanément et sans effort, de telle sorte que s’il change, on s’en rende compte naturellement…

Sur le serveur

Se connecter au serveur à l’ancienne, avec le mot de passe. Puis copier le contenu du fichier ~/.ssh/id_rsa.pub du client dans le fichier ~/.ssh/authorized_keys du serveur. Se déconnecter puis se reconnecter.

Si tout se passe bien la connexion devrait se faire sans mot de passe, félicitations !

Si ce n’est pas le cas, vérifier les droits sur les fichiers du serveur :

chmod 755 ~/.ssh
chmod 755 ~/.ssh/authorized_keys

 


Un panorama réjouissant

panorama Grambrinal

panorama Grambrinal

Au fait, j’ai oublié de vous dire… j’aime la bière !

Eh oui, ça peut paraitre banal pour un geek informaticien, mais attention… pas n’importe quoi comme bière. Ça fait longtemps que j’ai arrêté la Kro et autre pseudo-sodas sans saveurs. J’avoue que même avec la Bière Belge je commence à tourner en rond… Bref, tel n’est pas l’objet de cet article, mais plutôt voici l’explication de cette superbe photo…

Le réveillon approche, et avec lui, son lots d’amis affamés et assoiffés. C’est donc le prétexte que j’ai choisi pour passer une petite commande en ligne de breuvages sympathiques. Je ne cherche pas ici à faire de la pub, mais plutôt à partager mes découvertes. Donc allons-y.

Tout d’abord, le dealer : boutique en ligne saveur bière. Je vous laisse chercher par vous-mêmes, vous êtes des grands, hein. Site plutôt bien fait, très large choix, de nombreux critères de recherche (manque un critère par niveau d’amertume à mon avis…). Les fiches des produits sont assez inégales, certaines très bien remplies, et d’autres, non. Livraison ultra rapide, par livreur, pas trop cher. Conditionnement impeccable : deux colis en carton robuste avec un cloisonnement interne spécialement étudié pour les dives bouteilles. Tout est arrivé en bon état, sauf qu’il manquait une bière !? Après re-comptage et dépeçage en règles de l’emballage, une petite notice m’informe que suite à un problème de stock, il manque une bière à ma commande, et que plutôt qu’attendre leur prochaine livraison, ils préfèrent m’envoyer la commande incomplète et me rembourser la différence : merci ! Très carré, très efficace, bravo ! Bref : bonne expérience, je commanderai probablement encore chez eux !

Deuxième point : la shopping list. De gauche à droite sur la photo : French Connection Brune, Mikkeller 1000 IBU, Emelisse Barley Wine 2012, Emelisse TIPA x5, Emelisse Rauchbier x2, Emelisse Expresso Stout x6, Emelisse Black IPA x2, Emelisse Imperial Russian Stout x2, Emelisse Dubbel, Emelisse Blond, Brewdog Hardcore IPA x3, Schneider Hopfenweisse x2, Anchor Liberty Ale x2.

Alors, bon, oui, clairement, on me dira : t’as des actions chez Emelisse, où bien ? J’avoue que j’adore cette brasserie. Il s’agit d’une brasserie hollandaise, dont la production, aussi variée qu’éclectique, fait dans la haute qualité, le gout, et la puissance. J’ai découvert leurs bières grâce à un fameux troquet de Toulouse, Un bout du monde, café culturel dont la variété de la carte d’à d’égal que la sympathie des tenanciers. J’en profite pour leur faire un peu de pub, parce que je les aime vraiment bien, et même s’ils n’en ont pas tellement besoin puisque c’est toujours plein ! N’hésitez pas à leur demander conseil sur la bière…

Bref, toutes ces merveilles trônent maintenant chez moi, dispatchées entre le frigo et la cambuse. Donc pour ceux qui suivent, vous aurez peut-être remarqué une tonalité, j’aime les bières (très) amères ! Je ferai peut-être (ou pas) quelques autres articles sur ce sujet palpitant dans un avenir incertain. Une question reste en suspens : mes invités du réveillon auront-ils les mêmes gouts que moi ??


Monter un périphérique Android sous Ubuntu

Il faut pour cela le programme Go-mtpfs (la connexion avec Android se fait sur la base du protocole MTP). On le trouve dans un PPA qui va bien :

sudo add-apt-repository ppa:webupd8team/unstable
sudo apt-get update
sudo apt-get install go-mtpfs
sudo mkdir /media/MyAndroid

Une fois installé, vérifier que le périphérique est bien en mode MTP, puis le brancher par cable USB et lancer cette commande :

sudo go-mtpfs -allow-other=true /media/MyAndroid

Le périphérique est monté sur le répertoire indiqué…

Pour le démonter faire :

sudo fusermount -u /media/MyAndroid

Voila pour aujourd’hui !

[Source]